Le retour, par contre.
Bon. Quoi ? Comment que je me sens, dans cette première reprise de contact avec le web ? Bin... Pff... Bof. "Bof", "bof" ? Non non non, je parle du blog ! Brutalement sevré, j'ai été en état de manque pendant quelques heures, et puis et puis depuis... Je sais pas... Comme un qui aurait trop eu mangé du chocolat, je me sens un peu barbouillé rien que d'y penser, quoi. Heureux de m'en être libéré... Hein ? Non non, c'est pas un coup de l'autre concon, là. Quoi ? Lui ! Non non, laisse béton, lui ? Ha ha ha hupfr hh! Hh! Rroam, rr ! -excuse-moi, j'ai une colle. Non, c'est aussi que j'ai d'autres occupations, dans la vie... Par exemple, là, tout de suite, je reviens de vacances. Onze heures de route sous le feu roulant des questions de mon 5 ans et demi préféré – vous savez combien ça fait, en mètres (à 10 m près), à brûle-pourpoint, la distance du Ranquet jusqu'à Villers, vous ? Et puis de la pluie, du trafic, de l'ennui, bon, et bien, tout ça m'a très fatigué.
Bien content d'être arrivé à bon port.
Tchouuuuuuuuuuuuuuuuuuuu, tchouuuuuuuuuuuuuuuuuuuuuuuu !
La vapeur relâchée, les yeux rougis d'escarbilles, j'ai le menton posé sur la table...
Je me sens comme un qui va bien dormir, voilà comment que je me sens : ma passagère imprévue est en train de me réchauffer la place là-haut , là-haut, sur la mezzanine.
Hm...